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4 enseignements que j’aurai aimé savoir lorsque j’avais 18ans

4 enseignements que j’aurai aimé savoir lorsque j’avais 18ans

Si j’avais su ! Vous est-il déjà arrivé de vous dire : « J’aurais tellement aimé savoir cela lorsque j’étais plus jeune » ?

Au point que vous avez pris conscience que votre vie serait différente, voire meilleure, si seulement vous aviez su ?

Aujourd’hui je partage avec vous 4 enseignements que j’aurais aimé recevoir lorsque j’avais 18 ans, mais que je suis très heureuse de connaître aujourd’hui.

Car il n’y a pas d’âge pour apprendre : et savoir de nouvelles choses, c’est commencer à les mettre en application pour tendre vers la vie de ses rêves.

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18 ans, c’est l’âge de la majorité : on est sorti du lycée, on a son permis, on commence une nouvelle ère, une nouvelle vie d’adulte. L’un de mes plus grands rêves serait que tout ce que j’enseigne sur mon blog et ma chaîne YouTube, et tout ce que j’apprends moi-même, soit enseigné dans les écoles.

Recevoir des enseignements en psychologie dès le plus jeune âge permettrait d’apprendre à se faire confiance, et à se bâtir une bonne estime de soi.

Cela donnerait à chacun les outils de développement personnel nécessaires pour ouvrir le champ des possibles et croire en soi : autant d’outils permettant de réaliser ses rêves.

 

Enseignement n°1 : Les croyances

À 18 ans j’aurais vraiment aimé savoir qu’on décide de qui l’on veut être, et des croyances que l’on peut avoir. Les croyances, ce sont toutes ces pensées et ces lieux communs qu’on nous répète depuis qu’on est tout petit.

Ces pensées entendues maintes fois sont devenues des vérités.

Henri Ford a dit : « Que vous pensiez être capable ou ne pas être capable, dans les deux cas, vous avez raison ».

À l’école, une de mes professeures avait affirmé que les timides étaient condamnés à rester timides toute leur vie. Sans méchanceté, elle ne faisait que transmettre sa pensée qui était sa réalité, sa propre croyance.

Si vous croyez qu’un timide est condamné à rester timide toute sa vie, vous avez raison, et vous allez rester ce timide-là pour l’éternité, enfermé dans cette croyance, que vous avez transformée en réalité.

Si à l’inverse vous croyez qu’on peut se défaire de sa timidité, vous avez raison aussi : et vous allez vous affranchir de votre timidité.

Une pensée devient une croyance à partir du moment où elle n’est jamais remise en question, et qu’on en fait sa vérité absolue. Elle peut même devenir une croyance limitante.

Remettre en cause une croyance ne signifie pas savoir si elle est vraie ou fausse, mais plutôt se demander si cette croyance aide dans son cheminement personnel, et dans sa progression de vie.

Lorsque j’ai découvert tout ce que je vous enseigne ici, j’ai décidé de mettre une croix sur la croyance de ma professeure, que j’avais fait mienne, et d’en choisir une nouvelle.

J’ai challengé cette croyance, je l’ai remise en question, et j’ai commencé à me dire que je pouvais me défaire de ma timidité.

Aujourd’hui c’est ma nouvelle croyance : la timidité n’est pas une fatalité, on peut en sortir !

On a le droit de choisir ce qu’on veut croire, et on le fait d’ailleurs inconsciemment. La puissance de ce travail sur soi au niveau des croyances, c’est de pouvoir être conscient de choisir quelle croyance va nous aider à grandir.

 

Enseignement n°2 : Organiser sa vie autour de ses points forts

On a tous et toutes des points forts et des qualités, tout autant qu’on a des défauts : personne n’est parfait. Pour réussir sa vie, je pense sincèrement qu’il faut la faire tourner autour de ses points forts.

Lorsque j’étais plus jeune, je voulais faires des études de psychologie. Mais on m’a conseillé des études d’ingénieur, parce que ça rapporte plus. Je suis certaine que vous avez déjà entendu ce genre de discours !

J’ai donc choisi un autre chemin, loin de ce qui m’intéressait vraiment. En revanche j’ai continué à lire des livres, à me cultiver sur la psychologie parce que c’était ma passion.

Si à 18 ans j’avais su qu’il fallait organiser sa vie autour de ses points forts, j’aurais évité de suivre un cursus qui ne me convenait pas : je me serais lancée directement à la poursuite de mon rêve, et j’aurais gagné du temps.

Mais il n’est jamais trop tard pour bifurquer et se remettre dans le chemin qui correspond à ses aspirations. J’ai fait mes études d’ingénieur et finalement je suis revenue à ce qui m’intéresse le plus depuis toujours : la psychologie.

C’est de cette passion qu’est née ma chaîne YouTube, que découlent mes conférences et tout ce que je fais aujourd’hui. J’ai trouvé mon chemin gagnant !

 

Enseignement n°3 : Avant d’être excellent, il faut être débutant

Personne ne réussit du jour au lendemain. Les personnes qui réussissent sont celles qui se donnent le droit de commencer quelque part, celles qui ont commencé à faire leur première crêpe.

Si vous ne connaissez pas mon analogie de la première crêpe, la voici : lorsqu’on fait des crêpes, la première est souvent ratée, ou en tout cas moins bonne que les suivantes. Pourquoi ? Justement parce que c’est la première.

Plus on va en faire, plus on va s’améliorer et progresser, au point que la dixième ou la vingtième crêpe va être excellente.

Il faut se donner le droit de faire cette première crêpe pour pouvoir atteindre un niveau supérieur. Donnez-vous le droit de commencer quelque part, faites vos premières crêpes !

Car personne n’arrive au sommet sans rien faire, personne n’est parfait du premier coup. Tout le monde commence quelque part et se perfectionne au fur et à mesure qu’il avance.

 

Enseignement n°4 : Tout s’apprend

Si je pouvais parler à la fille que j’étais lorsque j’avais 18 ans, je lui dirais : « Manal, tout s’apprend, tu peux choisir d’apprendre de nouvelles choses ». Il faut commencer quelque part, parce que tout s’apprend, à condition d’accepter d’être débutant et de se perfectionner pas à pas.

Je vous rappelle, et je rappelle à la jeune fille que j’étais, qu’on décide de ses croyances : on est le patron de sa vie. En décidant de se dire que tout s’apprend, on finit par le croire vraiment : la pensée devient croyance, et va donc devenir une réalité.

Tout ce qu’on décide, qu’on tient pour acquis, et qu’on croit dur comme fer va se manifester. Si l’on pense sincèrement que tout s’apprend, on est capable de se donner le droit de prendre des cours, de se former, le droit d’apprendre de nouvelles choses.

Peu importe votre âge, rappelez-vous qu’à partir du moment où l’on sait de nouvelles choses, il ne reste qu’à les mettre en application pour changer, et pour aller dans la direction de la vie de ses rêves. C’est ça, dessiner son chemin gagnant !

Qu’est-ce que vous auriez aimé savoir quand vous étiez plus jeune ? Et qu’avez-vous envie d’apprendre aujourd’hui ?

Avez-vous identifié les croyances qui vous limitent dans votre progression et votre accomplissement personnel ?

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